Mélodrame de qualité signé par le vétéran Richard Attenborough. Dans un premier temps ce récit attire avec cette description de cette micro-société de l'Université d'Oxford durant les années 50, ainsi que la mise en place des personnages (selon Aristote). Par la suite, le côté larmoyant intervient avec la maladie de Joy (Debra Winger) et le déchirement de Jack (Anthony Hopkins) mais la prestation générale des interprètes fait que cela passe comme une lettre à la poste. La photographie me révulse un peu mais finalement correspond bien à l'ambiance voulue, le feutré et la discretion de cette intrigue et de ce milieu, cela met bien en avant les décors d'Oxford.