J’ai en revanche pu voir le court-métrage surprise (qui n’est pas vraiment surprise puisqu’il est annoncé dans le programme), Les Pécheresses de Gerlando Infuso, au nom très giallesque d’ailleurs, qui nous vient tout droit de La Cambre, cette école d’Arts Visuels belge qui nous inonde de court souvent de très bonne qualité, comme celui-ci. S’amusant des contes et mythologies et de leurs morales douteuses rejetant la plupart du temps la faute sur la femme ; tu n’avais qu’à pas ouvrir cette porte, tu étais prévenue. Trois histoires s’entremêlent pour n’en faire qu’une, devenant ainsi l’allégorie d’une condition féminine à travers le monde. Le film est non dialogué, le rendant ainsi encore plus universel, et la maîtrise technique en fait un petit bijou d’animation.
Tiré du journal du festival des Hallucinations Collectives 2016 : lire l'article entier sur mon site...