Un film de casse en trois parties : Préparation, action, conséquences. La première partie est assez bavarde, plombé par le jeu monolithique de Rod Steiger, mais éclairé par les deux scènes de cabaret de Joan Collins dont un formidable numéro sexy en duo avec Eli Wallach jouant du saxo. La seconde partie est une petite merveille, réalisé avec une précision d'horlogerie, une gestion des imprévus venant alimenter son atmosphère anxiogène. On peut être déçu par la troisième partie en raison de sa faiblesse scénaristique et de son moralisme boy-scout. A voir pour la partie centrale et…pour Joan Collins.