Musidora, je t'aime

Je l'ai déjà dit, mais je suis complètement sous le charme de Musidora. Surtout lorsqu'elle porte sa tenue moulante ! Si moulante que je crois deviner sa poitrine nue sous le tissu étiré. Et puis quel popotin ! Quelle taille ! Quel ventre !

L'épisode est sympathiques. Sans plus. Au début, j'étais agréablement surpris de voir avec quelle efficacité le grand nombre de personnages était exploité : plus de richesse au récit qui ne repose plus seulement sur un enquêteur, puisque les rivalités naissent entre différents méchants, les personnages évoluent. Malheureusement, ça ne tient pas le coup et au bout d'un moment l'intrigue devient un peu chaotique. Chaotique est un bien grand mot, j'en conviens, mais en tous cas c'est moins efficace, moins prenant, plus brouillon. Et puis en plus, c'est quand même un très long épisode (58 minutes).

La mise en scène reste exemplaire, avec des acteurs impliqués. Un détail sur lequel je ne pense pas avoir beaucoup insisté jusque là, c'est la musique : le thème d'ouverture est mon préféré, mais tout au long de chaque épisode, on y (re)découvre de très bons morceaux, ce qui joue un grand rôle bien sûr, dans l'appréciation de l'oeuvre.

Bref, un épisode qui se regarde sympathiquement malgré quelques longueurs sur la fin.