Entre deux mondes
Les Veuves de Steve McQueen commence dans un sursaut. Le premier plan est pourtant calme, paisible, blanc, aimant mais il se voit contrasté en quelques secondes par de bruyants coups de feu, par une...
le 2 déc. 2018
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Rien que le nom du réalisateur aurait du me mettre une puce (pas forcément informatique) à l'oreille : Steve McQueen. Ca se peut pas, il est mort, ou alors je passe pour un con ? Enfin bref, le doute m'effleure encore comme un coup de 357 en pleine tronche... du voisin avec le titre anglais qui est louche et blême : "Widows". Ca se peut pas, je connais Windows, c'est toujours de plus en plus pourri et je connais toutes les version, celle-ci n'existe pas ! Ou alors je passe pour un con ? En tout cas, le résultat est identique, ça plante avant la fin.
Enfin bref, "Les veuves" sont gonflées à la testostérone plus qu'au silicone, ce qui en soi est dommage pour le relief, et du coup le film est plat. Et pourtant il tourne !
La fin me laissa sur ma faim, persuadé de m'être endormi dans un cauchemar épouvantable ou je revoyais un film de Clouzot : "Les diaboliques". Ce que c'est, quand même, que la nostalgie. Et je me suis fais encore estourbir mon pognon pour un bide. Et encore, en principe, un bon gros bide, ça a du relief, non ? La prochaine fois, je veux voir un film sorti de la Silicone Vallée...
4/10 pour l'affiche.
Créée
le 4 déc. 2018
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