Tout pour bien faire : un biopic dans les années 80, une histoire vraie, un truand, un méchant qui vole les riches, des belles couleurs, une belle image. Mais non. En effet, il ne suffit pas d'être beau pour jouer bien. Les discours sont ratés, on y croit pas une seule seconde. Même les couleurs dans le supermarché sont trop vives pour faire vrai.
Yvan Attal relève un peu le niveau mais ne peut pas tout faire tout seul. On lâche le fil et on reste sur notre fin sur cette folle histoire de Bruno Sulak.
On aimerait la comparer avec Mesrine, mais, n'est pas Vincent Cassel qui veut.