J’ai rarement vu un film aussi… confus. Loups-Garous, réalisé par François Uzan, ressemble à un délire entre potes, mais sans le fun ni l’énergie qu’on espère trouver dans ce genre de projets. On a l’impression que même les loups ont perdu leur flair dans ce scénario brouillon. Ce qui aurait pu être une comédie d’horreur décalée tourne vite au marathon de l’ennui.
Le pire, c’est qu’une émission comme Loups-Garous sur Canal Plus réussissait à être plus profonde et mieux écrite que ce film. C’est triste quand une simple émission télé semble avoir plus de mordant qu’un long-métrage censé lui rendre hommage.
Amnésie scénaristique : le fil conducteur du film semble avoir été perdu dès le départ.
Scénario bancal : aucune cohérence, on dirait un puzzle incomplet.
Vacuité émotionnelle : pas d’âme, pas de passion… juste du vide.
Johnny Hallyday : oui, il y a un clin d’œil, mais est-ce vraiment nécessaire ?
On pourrait pardonner beaucoup de choses à un film s’il y avait un minimum d’amour ou d’enthousiasme derrière. Même un bon nanar, au moins, a ce petit cœur qui bat. Mais ici, tout est plat. Le film ressemble davantage à une tentative artistique contemporaine qu’à un véritable projet de cinéma. Si vous cherchez une intrigue captivante et des personnages qui vous touchent, passez votre chemin.
Et vous, ça vous est déjà arrivé de regretter une soirée Netflix ? Parce que là, on est en plein dedans. Un film à fuir… à moins que vous aimiez les délires entre potes sans queue ni tête.
Pour des critiques plus colorées et avec un peu plus de personnalité, suivez mes recommandations quotidiennes sur Instagram @rono.bizarre. Ça pique parfois, mais toujours avec bienveillance !