Love, et autres drogues par Tsi_poulet
Jolies scènes de cul, c'est ce qu'on retient le plus de ce film.
Dommage ai-je envie de dire (mais je ne le dirai pas) parce que derrière ces petits seins bien ronds et ces paires de fesses parfaites, se cache un sujet bien peu exploité au cinéma: les maladies graves touchant les jeunes de moins de trente ans. Ici l'héroïne affronte Parkinson. Le héros lui, après avoir mis son attirail protubérant sous les jupes de toutes les filles de la terre, tombe amoureux.
Se pose alors la question majeure: comment imaginer un avenir quand la maladie rôde et rappelle sa présence à chaque instant? Peut-être un peu sous-exploité, mais la deuxième partie du film est assez touchante. Au-delà de nous présenter ses tétons, Anne Hathaway nous montre à quel point elle a murît. De même pour Jake Gyllenhall, que l'on préfère nettement en séducteur hétéro qu'en cow-boy gay.