Ce film réussit à rassembler un condensé de multiples stéréotypes sur l’Italie.
Il a réussi à outrer l’autre moitié de mon couple, qui est de Vérone. Elle est ressortie ulcérée du visionnage.
Il n’y a aucun scénario construit. Le jeu des 2 principaux protagonistes est un vide intersidéral. Leurs interactions sonnent faux. La rivalité outrancière des 2 protagonistes, qui finissent par tomber amoureux, n’est pas crédible.
Il est désespérant de voir Vérone réduit au balcon et à la maison de Juliette, qui sont avant tout des attrape-touristes. On voit finalement peu d’images de Vérone. Plus d’images par drone permettrait de contempler plus la ville et aurait abrégé la souffrance que représente le visionnage de ce film.
On se divertira néanmoins devant la blague du chauffeur qui dit s’appeler « uberto », quand l’héroïne lui demande si uber existe.