Director’s cut
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
Sexploitation de plus avec ce Love Is Over en ce début des nineties à HK et dans la filmographie grivoise de Charlie Cho. Ce dernier retrouve d’ailleurs pour l’occasion quelques habitués, notamment l’acteur Lee Chung-Ling. Il campe ici un personnage naïf qui est le seul à avoir un minimum de respect pour la gent féminine. A l’exact opposé d’un Charlie Cho en mode pervers qui n’a que peu de respect pour elle et qui n’a qu’un seul but : coucher le plus possible, et accessoirement apprendre les rouages de la vie à sa jeune recrue. On suit alors une trame classique avec les moyens du bord, autant dire pas grand-chose. Charlie est un chaud lapin qui cocufie sa moitié. Il mettra tout en œuvre pour coucher avec le personnage interprété par Rena Otomo. Cette dernière avec deux de ses collègues, dont l’actrice Amy Wong fomente un plan pour le ridiculiser. Comme souvent avec ces productions Cat. III au rabais, il y a un mauvais goût certain. On se désole plus d’une fois du spectacle proposé mais on parvient aussi à l’apprécier si l’on est peu exigeant. L’amateur de softcore devrait y trouver son compte. Le cahier des charges est respecté puisqu’il y a même une scène de douche, pas qu’une mais celle qui intéresse met en scène Pauline Chan. En bref, avec Love Is Over nous sommes en terrain connu pour qui connait son acteur principal et sa poignée d’actrices. Nous savons donc à quoi s’en tenir et prenons l’ensemble comme il est : une farce érotique, rien d’autre.
Love Is Over est un Category 3 érotique qui parviendra à arracher quelques sourires. Si l’on est peu réceptif au genre, autant le dire franchement la vision de ce film peut devenir des plus pénibles.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2014/07/25/love-is-over-1993-fan-kung-ming-avis-review/)
Créée
le 25 avr. 2015
Critique lue 366 fois
2 j'aime
Du même critique
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime