La plongée dans la belle Louisiane est très réussie. Il y avait les bases pour réaliser un beau film. Mais les personnages sont ratés, l'évolution des personnages n'est pas du tout convaincante. Les éléments de rupture censés influencer la psychologie des protagonistes sont trop abruptes et pas du tout crédible. La prévisibilité de l'histoire n'aurait pas été un problème si le développement des personnages aurait été plus profond, plus progressif, plus lent.
Des personnages meurtris au plus profond de leur être font ressortir leur côté mielleux trop facilement.
John Travolta fait de son mieux mais il n'est absolument pas aidé.
Créée
le 26 sept. 2020
Critique lue 147 fois
D'autres avis sur Love Song
Sortie digne d'un fond de catalogue pour un film largement sous estimé. Pourtant, tout y est : personnages hauts en couleurs, distribution et interprétations impeccables, large éventail émotionnel,...
Par
le 29 mai 2014
4 j'aime
2
Il est des soirs d'où rien ne semble pouvoir naître. Et pourtant au détour d'un film, la surprise se fait.Cette love song se jouera sans aucunes fausses notes jusqu'à la fin. Sans artifices ni...
Par
le 3 févr. 2017
3 j'aime
Sorti sur le tard en France pour rassasier les fans de Scarlett Johansson (dont je faisais partie), "Love Song" n'en est pas moins un joli film, sincère et touchant. Il n'est guère difficile de...
Par
le 4 déc. 2017
1 j'aime
Du même critique
Le cimetière de Prague écrit par Umberto Eco, est un roman sur fond d'événements historique retraçant la vie de Simon Simonini par le biais de son journal intime. La présentation de ce personnage...
le 7 oct. 2018
2 j'aime
1
Les plans séquences, les couleurs, les mouvements de caméra, les mouvements des corps, l'esthétisme général, le rétrécissement du champ de vision nous permettent de nous plonger efficacement dans un...
le 26 sept. 2020
1 j'aime
11
Ce film m'a rapidement fait penser au travail de Nicolas Winding Refn. L’esthétisme, les travelling horizontaux (pas tant que ça par la suite), l'immobilisme des corps imposants puis l’ambiguïté des...
le 5 sept. 2020
1 j'aime
2
