Lorsque j'ai vu ce film pour la première fois j'avais 14 ans. Si j'avais jugé la première partie du film cul cul la praline, la seconde partie m'avait tellement bouleversé, qu'il m'est resté impossible de le voir jusqu'en 2017, où j'ai eu le courage de le revoir. Et ce film arrive encore à me touché. Il n'y a pourtant aucune surprise puisque tout est annoncé dès le début. Mais il est très facile de s'attacher aux personnages principaux. Et tout se bouleverse lorsqu'Oliver apprend pour la maladie de Jenni. Si on est au courant du dénouement final depuis le début, le choc se lisant sur le visage d'Oliver qui passe d'un sourire à une triste réalité nous fait plongé dans l'abime de la tristesse. Sentiment qui ne nous lâcheras pas jusqu'à la fin et surtout dans les insupportables 10 dernières minutes pleines d'émotions. Love Story est plus qu'un film. Love Story, c'est la vie. Une leçon de vie qui ne se fini pas en Happy End. Loin des clichés Hollywoodiens qui voudrait qu'Oliver retrouve l'amour à la fin du film.
Le film est juste dans sa logique, il n'en montre ni trop, ni pas assez. Les cuts sont rapides et on ne s'attarde pas sur des moments inutiles qui pourrait faire tombé l'attention. Pour moi Love Story est un chef d'oeuvre à mettre dans les 10 films à voir avant de mourir. Si on ne ressent pas un pincement au coeur au climax du film, alors soit on est un psychopathe et on doit s'inquiéter soit on est un robot et c'est beaucoup plus grave.
C'est un Roméo et Juliette des temps modernes sans être trop stupide. Une belle leçon de vie.