Le regard de la femme bafouée, le drame des maris volages, et la douce sérénité du renoncement. Premier shomingeki pour Mikio Naruse.
Du Naruse déjà « dans le texte ».
Le regard de la femme bafouée (ici la fille), le mari goujat (ici le père), et le drame provoqué par ces maris volages. On est presque dans le Naruse des années 50. L’ironie, c’est qu’on est même sans doute un peu plus chez Ozu.
Dans le jeu des sept familles japonaises, Ozu optera (dans les années 50) presque toujours pour la fille ; ce qui permettra un regard extérieur, distant, face à la volonté de ses parents, même s’il est question souvent de son propre avenir.
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