Avec Douleur et Gloire, Almodovar était au sommet de son art. Avec Madres Paralelas, il signe un film un peu lent et décousu. Le thème de la maternité y est intéressant, celui de la mémoire complètement survolé. Le début et la fin semblent avoir été parachutés dans l'histoire sans explication, reléguant au second plan l'intrigue principale du film. Les images et les couleurs restent très belles, en particulier l'appartement de Pénélope Cruz qui n'a plus aucun mystère pour le spectateur.
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le 7 déc. 2021
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