Le 3ème volet était une parenthèse insipide et cette fois Kevin McCallister est de retour ! Ne vous réjouissez-pas trop vite car si on retrouve les personnages, tout le casting a été renouvelé nous donnant l’impression d’avoir sous les yeux une version (très) low-cost de Maman, j’ai raté l’avion. Un sentiment qui va ne faire que se confirmer au fil des minutes quand on voit ce téléfilm reprendre éhontément des éléments du premier épisode. La seule originalité vient du fait que le terrain de jeu est désormais une demeure domotique mais cela ne suffit pas pour nous donner de bons gags. Maman, je suis seul contre tous c’est un nouvel exemple qu’on ne recule devant rien pour exploiter un bon filon quitte à massacrer les bons souvenirs des spectateurs.