10 ans plus tard, le crew de Mamma Mia se retrouve en Grèce. On prend (presque) les mêmes et on recommence, avec ici d'autres thématiques, la famille, la relation mère-fille, l'indépendance, la soif de liberté, la question de choisir la vie qu'on veut mener...
Sophie va ré-ouvrir après travaux, l'hôtel établi dans les murs où sa mère a vécu les meilleures années de sa vie et a convié tous ses proches, mais les intempéries et les obligations des uns et des autres ne compromettront-elles pas ses plans ?
Toujours haut en couleurs, vif, tantôt joyeux tantôt émouvant, Mamma Mia offre un très agréable moment de spectacle. J'ai apprécié le jeu de la lumineuse Lily James, le choix des trois pères de Sophie dans leur jeunesse. On a envie de danser, chanter, on retient difficilement des larmichettes par-ci par-là. Le scénario reste simple mais on adhère tout de même et on ne voit pas le temps passer.