Pour Nastassja...
Pour son premier film d'exilé, Konchalovsky n'a pas tout-à-fait perdu sa "slavité" et transforme une histoire symboliquement américaine (on ne peut pas ne pas penser à "Voyage au bout de l'Enfer", à...
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le 14 janv. 2017
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Pour son premier film d'exilé, Konchalovsky n'a pas tout-à-fait perdu sa "slavité" et transforme une histoire symboliquement américaine (on ne peut pas ne pas penser à "Voyage au bout de l'Enfer", à cause du Vietnam, du retour des vétérans et de John Savage dans un rôle finalement assez similaire) en un film étrange et apatride, mais toujours stimulant. "Maria's Lovers" est néanmoins porté par la grâce de Nastassja Kinski, qui illumine littéralement chacune de ses scènes. [Critique écrite en 1985]
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de 1984
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le 14 janv. 2017
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