[...] A travers ce personnage, Marcela Said nous montre un Chili qui condamne ses militaires, qui a un besoin, une soif de justice et qui n’hésite pas à juger les soldats qui avaient pris le pouvoir et aidé Pinochet. Mais elle nous montre également une société civile qui s’est enrichie suite à cette période trouble, qui a même aidé cette dicdature et qui – a contrario des militaires – n’est pas poursuivie. Deux poids, deux mesures. Mariana est alors jugée par son entourage pour sa relation avec ce professeur. Une moralité bien mal placée qu’elle a du mal à supporter. Critique complète de MARIANA sur La Critiquerie