La mise en scène est intéressante, mais pas géniale car si certaines sont réussies d’autres sont assez banales.
La description du personnage cynique séduisant les femmes avec exactement le même discours est savoureuse.
Le montage en parallèle des deux hommes, le mari et l’amant, gravissant la montagne et de la femme attendant dans le refuge crée opportunément le suspense du drame... annoncé, mais dont l’issue est différente de celle attendue.
Je partage le point de vue de Freddy Buache (Premier Plan, 1963 p.60-64) et de Denis Marion (Études cinématographiques, 1966 p.27-31) sur les poncifs hollywoodiens du premier film d’Erich von Stroheim notamment le happy-end.
• Erich von Stroheim, Premier Plan, 1963.
• Dossier documentaire Erich von STROHEIM (avec liens partagés), Monde en Question.