Mastermah m'a pas mal déçu. Pour quelles raisons ? Car malgré une réalisation franchement convaincante que ce soit par l'univers visuel que par l'histoire qui prend un parti-pris plus fantastique, Mastemah loupe le coche en voulant utiliser trop de choses : trop de protagonistes face à la relation entre Louise, la jeune psychiatre et son nouveau patient (à quel moment, un prête vient apparaître dans le film). Didier Daarwin a voulu trop en faire alors que le reste était plutôt propre. Du coup, on arrive avec des méga-longueurs, des rebondissements peu convaincants et une fin pas franchement ouf.