C’était BEAU. Voilà ce que je me suis dit à la fin de ce film. Oui c’était un magnifique film sans prétention, aucune.
Au départ, je l’ai regardé sans trop d’espoir, je m’attendais à un film enfantin un peu long et tout ce qu’il y a de plus banal mais j’ai été tout bonnement bluffée.
On passe du rire aux larmes du début à la fin. Oui, pour la première fois depuis très longtemps, j’ai versé ma petite larme à plusieurs reprises, et je n’ai pas la larme facile, c’est dire !
On s’attache tout de suite à Bailey. J’aime cette naïveté dans sa manière de penser qui le rend si touchant. Ce chien fidèle et plein d’amour qui ne vit que pour son premier maître qu’il n’oubliera jamais et qui, au final, restera à jamais son seul et unique maître. La complicité entre lui et le jeune Ethan est superbe : on a l’impression de faire partie de ce petit cercle et on rit avec eux. Ils sont vraiment beaux à voir ensemble.
Alors oui, on s’attache à presque tous les maîtres de Bailey mais sa relation avec Ethan est la plus particulière de toutes.
(La suite de ma critique ici)