Tendu vers son dénouement tragique, ce volume 2 poursuit sur sa belle lancée : la bio (sérieusement documentée) et le polar (sérieusement nerveux) se nourrissent mutuellement et Vincent Cassel joue dans la catégorie grand du 7e art. Si comme Richet, l’acteur ne voulait pas faire du gangster un héros, le résultat paraît discutable. Une certitude en revanche, ils en font un magnifique héros de cinéma.
Clin D'œil :
Pour jouer Jacques Mesrine, Vincent Cassel n'a pas hésité à prendre 20 kilos. Idem pour Samuel Le Bihan qui incarne le malfrat Michel Ardouin.