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Hack to the future
À l’origine du futur se situe Metropolis : œuvre monstre, qui embrasse avec démesure la potentialité du cinéma, encore dans son âge muet, et qui, après les fresques monumentales de Griffith sur le...
le 28 févr. 2019
59 j'aime
1
Le cinéma mué
Metropolis
Un nom qui fait peur !
Et comment !
Terribles seraient les commentaires si un avis se révélait négatif !
Mais comment ne pas aimer un tel film ?
Alors que tous se prosternent,
Ignorer l’évidence serait dérisoire.
Soyons francs et directs, Metropolis est un chef d’œuvre.
Passif est le spectateur,
Actif l’observateur
Relevant les détails hissant l’œuvre au sommet :
Long, mais jamais lassant
Abondant et suffisant
Nécessaire et esthétique,
Tels sont les adjectifs pouvant tendre à qualifier le travail ici effectué.
Metropolis, un film muet, mais qui a beaucoup à dire.
Difficile de ne pas rester à son tour silencieux après avoir « vécu une telle œuvre ». C’est donc bouche bée que je vais poursuivre la filmographie de Fritz Lang, qui pour le moment est fascinante.
Les deux seuls films que j’ai pour le moment vu de ce réalisateur se rapprochent de la perfection.
Mais pour moi, le film ultime n’existe pas.
La métropole nous désirons,
Dans la banlieue nous resterons.
Un nom qui fait peur !
Et comment !
Terribles seraient les commentaires si un avis se révélait négatif !
Mais comment ne pas aimer un tel film ?
Alors que tous se prosternent,
Ignorer l’évidence serait dérisoire.
Soyons francs et directs, Metropolis est un chef d’œuvre.
Passif est le spectateur,
Actif l’observateur
Relevant les détails hissant l’œuvre au sommet :
Long, mais jamais lassant
Abondant et suffisant
Nécessaire et esthétique,
Tels sont les adjectifs pouvant tendre à qualifier le travail ici effectué.
Metropolis, un film muet, mais qui a beaucoup à dire.
Difficile de ne pas rester à son tour silencieux après avoir « vécu une telle œuvre ». C’est donc bouche bée que je vais poursuivre la filmographie de Fritz Lang, qui pour le moment est fascinante.
Les deux seuls films que j’ai pour le moment vu de ce réalisateur se rapprochent de la perfection.
Mais pour moi, le film ultime n’existe pas.
La métropole nous désirons,
Dans la banlieue nous resterons.
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Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Films sur mes étagères, J'ai beaucoup aimé ces films, mais je ne les aurais probablement pas vu sans SensCritique, 1 an sur SensCritique !, Top 10 par décennie : années 20 et Une année. Un film. (et mes tops 10 de chaque année)
Créée
le 11 juil. 2014
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5 commentaires
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