Pure poésie visuelle...
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On pourra déplorer le syndrome Otomo du scénario (luttes de pouvoir pas forcément compréhensibles et accumulation de méga-destructions apocalyptiques), reste que la beauté tout-à-fait hors du commun de cette représentation de "La Ville" ("Metropolis" est un véritable choc esthétique !) et l'humanité de personnages riches et multi-dimensionnels, crédibles parce que finalement assez indéchiffrables (comme souvent dans les meilleurs mangas, le bien et le mal sont trop entremêlés pour qu'une quelconque morale soit sauve à la fin) sont réellement enthousiasmantes. Par contre, le rythme défaillant de la mise en scène, qui supporte mal les complexités du scénario, nous laisse par trop le temps de nous abîmer dans la contemplation, et finit par desservir le film. [Critique écrite en 2004]
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Créée
le 17 juil. 2016
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