Les enfants deviennent grands et on s'éclate bien à regarder deux associales plein de fraîcheur aller de fête ratée en plan amoureux foireux . Les scènes passent et on passe du lycée à la vraie vie, c'est original de montrer l'action selon différents points de vue ( Tarrentino a-t-il copié MT???) MAIS c'est le même personnage qui raconte 2 fois la même scènes clés, une fois en version mytho, une fois en ve version sincère, dire la vérité, toutes les vérité, rien que les vérité : elles sont tour à tour amies ennemis
Je juge pas ce truc . La jalousie. Elle pique son mec idéale à son idéaliste de copine peintre ; Clara zilberstein, la journaleux bobo se marie avec le ponte du mondes de la peinture ( un galeriste ?) JUSTE pour faire chier romane boringer, son amie d'enfance, et en + la peintre ttatalentueuse perd son pt cop du moment à cause d'une gaffe lâchée comme ça " ttu l'aimes par calcul" ( le pt cop entend, demande justification, n'en a pas, donc s'en va)
Voir l'ascension de la copine journaleux qui est une femme destructrice, désabusée ( à 20 an, faut pas déconner..) alors que la rêveuse talentueuse artiste traverse que des tempêtes ( un banal accident la défigure temporairement, et le charme de sa beauté paraît soudain tellement vain) on est vraiment dans du très haut de gamme niveau construction de personnage, et c'est bizarre parfois ces scènes de craquage, proche du docufiction, mais ça donne bien ( la journaleux bobo hurle pdt 5min sur son cop beauf qui l'étouffe et je vais pas spoiler)
Le film nous présente aussi des mises en scène parlante, comme chez mc tiernam, qd mina allume sa clope et gros plan sur le bout qui se consume, c'est mina qui se consume, qui brûle ( de passion?)pour un gars.
L'ami