Docteur cagoule
Cela ne surprendra personne si l’on affirme que le dernier film de Lanthimos est surprenant. Ayant déjà engagé son comédien Colin Farrell sur des voies bien singulières dans son précédent et...
le 1 nov. 2017
78 j'aime
9
17 / 2o.
Un film tordu, certes, mais un film réussi.
Contrairement à beaucoup, j’ai découvert le boulot de Yórgos Lánthimos avec « Canine » (2oo9), un projet coup de poing mis sur pieds avec très peu de moyen, il m’avait laissé un drôle de goût. Avec le temps j’ai compris qu’il m’avait plus, mais qu’il me dérangeait beaucoup.
Mise à mort du Cerf sacré a bénéficié d’une enveloppe bien plus épaisse, et présente un scénario plus fantastique.
Avis complet sur Bergamout.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de 2017 et 2o17 : Vus en salles.
Créée
le 2 janv. 2018
Critique lue 241 fois
D'autres avis sur Mise à mort du cerf sacré
Cela ne surprendra personne si l’on affirme que le dernier film de Lanthimos est surprenant. Ayant déjà engagé son comédien Colin Farrell sur des voies bien singulières dans son précédent et...
le 1 nov. 2017
78 j'aime
9
Steven, chirurgien cardiaque (Colin Farrell), se trouve marié à Anna (Nicole Kidman), qui dirige une clinique d’ophtalmologie. Pleins pouvoirs sur le cœur, le regard ; un rêve de maîtrise absolue,...
le 24 oct. 2018
63 j'aime
18
Après le plébiscite occasionné par The Lobster, Yorgos Lanthimos revient avec Mise à mort du cerf sacré, de nouveau tourné et réalisé dans la langue de Shakespeare. Le réalisateur grec commence à se...
Par
le 26 juin 2017
63 j'aime
2
Du même critique
14.5 / 2o. Kathryn Bigelow tourne de manière à nous embarquer sur son épaule, ou plutôt sur celle de ses acteurs. T’es là, t’es avec eux, et ouais t’es mal. Le mouvement insufflé nous happe, et on...
Par
le 2 janv. 2018
1 j'aime
19.5 / 2o. Bien que ses précédentes réalisations errent dans mes interminables listes de films à voir, je ne connais pas le boulot de Lynne Ramsay. Mais ce que j’ai eu l’occasion de découvrir en...
Par
le 2 janv. 2018
1 j'aime
16.25 / 2o. 1972 : La championne Billie Jean King accepte de défier l’ancien numéro un mondial et très provocateur Bobby Riggs. Le féminisme doit alors terrasser la misogynie. Parlons sport. Parlons...
Par
le 7 janv. 2018