Dès les premières notes de We’re gonna get married de Randy Newman (Randy Newman est également présent sur la BO du premier film) on est heureux de retrouver la famille Burns – Furniker ( Focker en VO) et toute l’ambiance qui va avec.
Cette fois-ci, nous rencontrons les parents de Greg: Bernard et Rose. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce sont des personnes très exubérantes, qui se vouent l’un pour l’autre un amour inconditionnel et n’hésite pas à montrer toute la tendresse et la fierté qu’ils éprouvent pour leur progéniture même si ça peut parfois devenir extrêmement gênant.
Jack (Robert De Niro) vient donc en repérage pour bien vérifier si sa famille et celle de son futur gendre peuvent former un beau et grand cercle de confiance, un nouvel examen de passage qui je ne le vous cache pas est plutôt mal parti…
Ce nouvel opus comme vous l’aurez compris met en évidence la famille Furniker. Les parents interprétés par Dustin Hoffman et Barbara Streisand apportent de la fraîcheur en jouant les couples libérés et sans tabou, tout l’opposé du personnage de Robert De Niro qui lui, n’est pas très démonstratif et qui a une vraie culture de la gagne.
À noter que c’est la troisième fois que De Niro et Hoffman se retrouvent (après Sleepers et Des hommes d’influence).
Commercialement, Mon beau-père, mes parents et moi a réalisé un meilleur score que le premier film (516 642 939 $ au box-office mondiale contre 330 444 045 $ pour Mon beau-père et moi).
Jay Roach est resté dans la même énergie tout en conservant les mêmes qualités que le précédent. La musique prend plus d’importance et accentue les scènes comiques. Le quatuor De Niro , Stiller , Hoffman et Streisand fonctionnent très bien . Alors entrez dans le cercle et tachez de ne pas en sortir.