Un large sourire

Hayao Miyazaki, ce génie ! Tous ces films sont toujours magique, dépaysant et beau et ces surtout le cas de totoro. Il me fait pensé à un lapin mais un lapin géant, la peluche que chaque enfant rêvent d’avoir pour compagnon pour se confié et être réconforté, l’impression d’une créature naïve qu’il donne le rend encore plus adorable et lorsqu’il prend le bus il acquière presque un coté humain. D’ailleurs son sourire et celui du chat-bus ressemble étrangement à celui du chat de Alice au pays des merveilles, quant il la fait la première fois j’ai crue qu’il allait montrer son vrais visage et courir après May, mais que nenni c’est juste qu’il montre extrêmement bien c’est émotion et ses deux acolytes sont tout aussi mignon et curieux.
Seulement un point à éclaircir, je ne suis pas assez cultivé pour comprendre les hôpitaux japonais des années 80, mais la maman s’y trouvant doit avoir une maladie bien mystérieuse pour être assit sur son lit sourire aux lèvres avec une mine resplendissante et ce qui ma un peu dessus c’est que l’issue du film soit justement cette mère. Lorsque le film c’est fini je me suis demandé si je n’avais pas perdu une partie du film au téléchargement, cette fin est un peu trop rapide pour moi, j’aurais voulut en savoir plus sur totoro car on ne sait toujours pas se que c’est (un rêve, un fantôme, un esprit visible pour les enfants sage…), mais bon ...