Pas une critique!

Vu en Fuori Orario "A l'intérieur du labyrinthe - La ville des morts, la ville des vivants", à l'occasion de la Mostra Internazionale del Nuovo Cinema di Pesaro, rétrospective Mario Martone.

A classic "last days" biopic dedicated to what seemed to me like a "martyr" of the italian left, and the people surrounding him. The context seemed interesting, the figure who would ultimately kill itself (?) not so much, but it probably comes from not being italian.

Coloured in yellow-brown tones like many period pieces.

Score: 5?/10

Enjoyment: 3/5

J'ai essayé de représenter la double nature du rapport de Renato à Naples. D'un côté, il y a l'énorme générosité avec laquelle elle s'offre à ses enfants, comme si des personnages tel que Renato ne pouvaient naître que d'une ville aussi complexe et riche. D'un autre côté, il y a le côté obscur de Naples, celui qui vous vole et vous refuse tout réconfort quand cela vous est nécessaire ... Pour le tournage de ce film, la nature généreuse s'est manifestée. La ville s'est donnée en permanence, à travers les gens, les environnements, la lumière… (…)

J'ai voulu tourner le film en noir et blanc, pour se rapprocher du souvenir que ma génération peut avoir des années 1950. Qui est en noir et blanc: films et photographies… Luca Bigazzi - responsable de la photographie - après de longues promenades en ville ensemble, m'a proposé de tourner en couleur, car il a été frappé par le jaune de la lumière napolitaine. Cela m'a immédiatement convaincu, car il m'a semblé percevoir dans ce jaune une autre manifestation de la double nature dont nous parlions; le jaune du rayon de soleil, élément de réconfort, et le jaune pâle et poussiéreux, signe de maladie... (Mario Martone)