Bon bah, c'est vu (novembre 2012)... rien de fameux comme on pouvait s'en douter à la vue de la BA. Un film avec des jeunes bourgeois rebelles qui s'en mettent plein la tronche comme s'ils étaient des voyous. Tout ceci en soulignant bien que ce ne sont pas des gangsters, hein ? Ce sont des potes qui forment un gang avec les codes d'honneurs et tout et tout. Ça roule en Audi TT. Il y a des histoires de cœurs avec passage musicaux. Ça s'éclate en boîte tout en s'éclatant la tronche. Ça affiche des coupes de cheveux à la mode kimchi.
Tiens, vu qu'on parle coréen. Ce film est un gros pompage des films sud-coréens justement. Ça suinte par tous les pores avec également des passages musicaux, again (amitiés naissantes, amitiés renforcées).
Ça rappelle fortement tous les films djeunz avec ralentis, flash-back et j'en passe. C'est parfois long, gnan-gnan et sans intérêt. Il y a même une grosse scène de baston sous la pluie avec les ralentis qui vont bien. A part ça... on regrette que la cinématographie sudco devienne une norme à appliquer chez certains...
Créée
le 27 mai 2015
Critique lue 314 fois
1 j'aime
Du même critique
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
31 j'aime
2
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime
