« Professor Marston & the Wonder Women » (« My Wonder Woman » en français, cette manie de réduire les titres, enfin bon’ peu importe le titre français, il vous sera inutile étant donné que le film n’est sorti que dans deux salles parisiennes…) : Ceux qui pensent que le comic Wonder Woman est écrit pas un vieux pervers désireux de montrer une femme à moitié à poil semi lesbienne pratiquant le bondage et ce pour son propre désir (désir de l’amazone mais également de l’auteur), doivent voir ce film. Outre la magnifique relation amoureuse qui s’installe entre les trois protagonistes, on y apprend le message que Mr Marston a voulu transmettre à travers son comic. Avant-gardiste à souhait, pas le moins du monde misogyne, il voulait que Wonder Woman éduque les plus jeunes au féminisme pour qu’ils contribuent à bâtir une société meilleure, une société de paix. Oula’ je suis encore toute retournée devant tant de bienveillance et d’amour. Et finalement, la haine de l’époque portée à l’encontre de cette forme d’Amour non conventionnelle, n’est malheureusement pas si différente de celle encore présente aujourd’hui…