Quand la muse tangue…
Je ne vois pas. Non, je ne vois pas où voulait en venir Laure de Clermont-Tonnerre avec ce « Nevada ». Pour le sujet, ça va, c’est clair. Un homme en quête de rédemption trouve une voie de sortie...
le 25 juin 2019
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Bof bof. Je me disais que c'était filmé comme un film social européen chiant et je vois que c'est une réalisatrice française, héhé.
L'intrigue n'est pas très développée, il ne se passe pratiquement rien tout du long si ce n'est quelques péripéties très prévisibles ; le déroulement est assez convenu, sans surprise (en fait ce qui est surprenant c'est de délivré un film si convenu). C'est très dommage car l'idée de base, l'univers proposé est franchement intéressant... L'on regrette aussi que certains thèmes ne soient pas abordés : ces types qui dressent leurs chevaux avec bonheur et fierté, on ne nous montre pas la tristesse qu'ils peuvent avoir à les quitter de la sorte ! Surtout que c'est pour servir à des policiers, par une carrière sans danger !
La mise en scène sauve un peu les pots : la photographie est plaisante, le découpage est correct. Le montage est bien trop lent, trop mou, on y accentue toutes les longueurs du scénario. Le casting est correct, on appréciera surtout la performance de Schoenaerts dont le charisme déborde toujours plus à chaque nouveau film. La musique est convenue.
Bref, y fallait le retravailler ce film.
Créée
le 4 janv. 2020
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