Pumping Iron.
Vulgaire, beauf, clinquant, sexiste et parfaitement crétin, voici ce qui caractérise le cinéma de Michael Bay, archétype du bon gros ricain sûr de lui, le genre à rouler en 4x4 cheveux aux vents,...
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le 7 sept. 2014
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D’habitude j’ai bien les Michael Bay (oui j avoue...) ça se regarde bien et j’en demande pas plus...
la pour le coup je tombe dessus par hasard. Ça m’intrigue au départ je me dis la photo c’est sur c’est de lui mais je reconnais pas ...
C’est lourd pas de soucis . C’est gras on l’a vu aussi (Bad Boys 2) sur d’autres films. Mais ça ne divertis pas.
Ça n’impressionne pas et c’est voulu mais ça marche pas ( je tiens la longueur sur ses films généralement grâce à ça. )
Ça n’apporte rien malgré l’ambition (l’appât du gain, le rêve américain on a déjà vu tout ça et en beaucoup mieux) ça tire en longueur (j’ai failli abandonner)
Ça ne fait pas rire alors que c’est censé être l’un des moteurs du films (3 abrutis montant un plan ... (parfait) ...ça doit permettre pas mal de choses mais ça ne décolle pas ) le parti d’adapter sur une histoire vraie de surcroît ... rien n’est exploité
En bref une douleur de 2 heures et on ressort en ayant l’impression d’une perte (de temps , de ... tout...)
A oublier ou a vous de voir quoi retirer de tout ça. Douleur ou gain.
Créée
le 4 févr. 2021
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Michael Bay réalise ici un film qui sort bien de ses habitudes, en effet pas question de fusillades a gogo, d'explosions a tout va et de super cascades de fou saupoudré d'effet spéciaux hallucinant,...
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le 12 août 2013
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Bon alors, faites des photos, des captures d’écran, sauvegardez dans le cloud, entourez la date dans votre agenda, envoyez un mail à BFMTV ; j’ai mis la moyenne à un film de Michael Benjamin Bay, né...
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