Prenez et chialez en tous
La recette est facile, on prend une gosse qui a une maladie incurable, on la fait tomber amoureuse d'un infirme, on te caresse la tête comme un chien, on t'oblige à supporter ce mec tellement hautain que t'as envie de lui casser l'autre jambe, on te tire les larmes des yeux, on t'oblige à chialer.
Tellement de clichés que ça te donne la nausée, on se sent oppressé, presque contraint à devoir s'agenouiller et à pleurer comme une pauvre merde.
Quelques idées restent néanmoins notables, comme le "faux enterrement" par exemple. Moui, c'est bien trouvé. Moui, j'ai versé une larme (m'as-t-on d'ailleurs laissé le choix). Mais non, je ne céderai pas à la niaiserie d'un scénario destiné aux pré-pubères écervelées. Une bien belle hype qui sera déjà oubliée dans quelques mois.