La bande son est prenante, couplée d'un très beau texte.
Barbra est un diamant, polis par l'intelligence féminine et découverte par la gente masculine.
C'est pas de sa faute si les fées se sont penchées sur son berceau.
Que la beauté du son puisse rejoindre la beauté masculine, où Le Grand Sydney Pollack permets au spectateur, d'être spectateur d'une aura romantique en son temps avec l'illusion d'une illusion et de l'ombre de la déception.
Sydney arrive à pourfendre ou à défendre la vérité féminine et mets l'accent sur la nonchalance masculine.
Le réalisateur propose à travers ses deux artistes, ce que le sentiment amoureux offre, à la proposition. Une plume qui se pose sur une joue, tel un sentiment qui se pose une lèvre.
L'une des plus belle interprétation musicale de Barbra, qui sublime le film et qui, quelque part, laisse le téléspectateur surpris sur sa capacité volontaire de son talent d'actrice.