492: La mort était son nom nous plonge dans l’univers sombre du tueur à gages brésilien Júlio Santana, responsable de 492 meurtres (oui, vous avez bien lu). Le twist ? C’est un chrétien qui se débat avec sa conscience à chaque balle tirée. On a donc un mélange étrange entre Confessions d’un homme dangereux et Le Parrain, mais avec une touche de culpabilité catholique brésilienne.
Si vous aimez les drames psychologiques où l’on s’interroge sur la moralité de tuer pour un boulot, alors ce film devrait vous intriguer. Le casting, mené par Marco Pigossi, nous offre une performance intense. Le film est sombre, certes, mais fascinant à regarder.