La belle et les bêtes
Okja est un conte : à partir du moment où l’on accepte ce présupposé, on peut être en mesure de l’apprécier. Après une ouverture assez ébouriffante calquée sur un clip marketing adepte du Green...
le 22 mai 2017
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J'ai ri, pleuré. Je crois que quelque part, je suis coréen : je suis très sensible à cette alternance légèreté/profondeur que l'on ressent durant tout le film, et qui est, semble-t-il, une signature du coin.
Créée
le 3 août 2017
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