Gentleman cambrioleur
En 1910, un voleur s'empare de la Joconde. Il fuit sur les routes de France, poursuivi par la police et d'autres aigrefins. On a volé la Joconde est déjà le 7ème film de Michel Deville, vaguement...
le 31 mai 2019
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Le cambrioleur-séducteur Vincent dérobe la Joconde, dans des conditions plus cocasses que réalistes, et c'est le début d'une course-poursuite aussi mouvementée que loufoque.
Michel Deville réalise une comédie légère au cours de laquelle le portrait de Mona Lisa change incessamment de mains au hasard des péripéties les plus rocambolesques. Ensemble ou séparément, Vincent et la jolie Nicole qu'il vient de rencontrer parcourent une France rétro avec aux trousses
un duo de malfrats et deux policiers pas plus futés les uns que les autres.
En un mélange de fantaisie candide et de farce, avec un soupçon de sensualité, Michel Deville et Nina Companeez trouvent un ton sans doute détonnant dans la production comique de l'époque mais, néanmoins, pas complètement convaincant. Si on se laisse petit à petit emporter, dans la seconde partie du film, par la sarabande des personnages et par la légèreté de la mise en scène, en revanche, ces mêmes personnages, de par la nature puérile de certains d'entre eux, nous amusent finalement assez peu.
Film joyeux -et moral, on le verra- "On a volé la Joconde" sera d'une certaine façon ressuscité trente ans plus tard avec "La divine poursuite" du même Michel Deville.
Créée
le 19 oct. 2024
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