Nous sommes à Los Angeles , un animateur de Radio du nom d' Elvis Cooney (Mel Gibson),
est la vedette de l'émission "On The line" , diffusé la nuit sur la station KLAT .
Il reçoit un appel d'un auditeur , assez mystérieux , prétendant s'appeler Gary .
Ce dernier , le menace , ainsi que sa famille ( épouse , incarnée par Nancy Tate,
Fille interprétée par Romy Pointet ) .
Il prétend même trouver le domicile des Cooney et affirme qu'il a kidnappé l'épouse
et sa fille .
L'animateur entame alors une longue nuit d'angoisse et de négociations avec l'inquiétant
personnage .
Décidément , J'aurai toujours un mal fou à la filmographie de Mel Gibson .
Je n'ai rien contre le bonhomme , bien au contraire .
Il a l'art de m'amuser , quand il fait le clown en pleine promo d'un film ,
mais en revanche ses films mis à part le franchise de Mad Max
; et encore c'est à partir de l'épisode "2" que j'ai
accroché et l'adaptation série "Maverick" ; le reste , j'ai souffert .
D'habitude , quand je regarde un film qui va devenir une franchise par la suite avec
le même réalisateur (De préférence) avec le ou les mêmes acteurs , je vais jusqu'au bout.
Pour Lethal Weapon 2 , pour le coup , je me suis senti comme Danny Glover : "Trop vieux
pour ces conneries" .
J'ai refusé de regarder le "3" (Ne parlons même pas du "4") .
Un exploit .
Mieux encore , il fut une époque , ou je ne manquai aucun film de Ron Howard ,
j'ai renoncé à "Ransom" (Et puis , j'avais déjà vu l'original d' Alex Segal 1956) .
Gibson est meilleur réalisateur , quand il ne joue pas dans ces films ( The Passion of
The Christ et "Apocalypto" , deux films controversés , je ne le sais que trop bien , mais ,
j'ai aimé .) .
J'ai essayé de me convaincre que ce téléfilm , bien inspirant du troisième film de David
Fincher "The Game" (pour ne pas employer un autre mot comme " copié/collé")
que ce " On The Line" , serait le troisième de Gibson que j'aimerai .
En vain ...
Bon, deux , c'est déjà pas mal , c'est mieux que rien .
Monsieur Boulanger , si vous vous attaquez à un autre film , de grâce , ne rembauchez
plus Mel Gibson ...
En vous remerciant .