Le 9eme film de Tarantino comme il aime à s’en venter est à la hauteur de ce qu’il est devenu.... un produit commercial hollywoodien basé sur un casting 3 étoiles une mise en scène à l’image maîtrisée, et une bande son assourdissante, pour ne pas dire envahissante. En même temps il fallait bien combler ces 3 heures de vide intersidéral, aussi creux qu’une noix de coco séchée. Aucune histoire, juste un reader digest du Hollywood des années 60-70. La bonne nouvelle c’est pour ceux qui arriveraient en retard, vous avez au moins 2h45 pour vous garer, ou pour terminer votre dîner, seul consolation, les 15 dernières minutes! Un peu maigre pour Quentin....