Ce film se propose comme une jolie étude autour de cette phrase musicale de Jean-Paul-Égide Martini jouée par un orchestre puis fredonnée dans le film.
Un film très simple dans son traitement, Hur Jin-ho et ses films des années 2000 sont très connus en Corée et par la critique pour cette mesure.
Comme dans April in snow, j'aime particulièrement comment Hur Jin-ho développe ou approfondit son thème avec des personnages, la grand-mère et l'ex-mari de retour, qui ne sont finalement présents qu'en filigrane, les non-dits permettant un déploiement de la richesse des personnages plus fort que l'aurait fait un surlignage.