Open Windows est l'un de ces films qui ne valent, principalement, que pour leur concept. Pourtant, le début fonctionne très bien, et Nacho Vigalondo est loin d'être un mauvais réalisateur, son cultissime Timecrimes est là pour en attester. L'histoire se suit bien, une sorte de Fenêtre Sur Cours 2.0, et l'intention de filmer uniquement le bureau du PC donne lieu à une sorte de splitscreen constant. Ca avance bien, jusqu'à la deuxième partie qui part totalement en vrille, atomisant toute crédibilité. Difficile d'oublier tout ce que la première partie a fait de bon, mais on ne peut s'empêcher de terminer le film avec un sentiment pas très guilleret.