Avertissement cette critique se base sur les émotions et non sur des processus faute de connaissances dans le domaine.
Ce film m'a bouleversé. Je me suis totalement identifié au personnage, une détresse et la perdition émanent du personnage non seulement dans les dialogues mais surtout dans l'implicite du mouvement, du regard. La force de ce film se situe dans la communication et les relations entre ce camé qui semble ne plus connaître l'espoir et ses proches ou moins proches qui se retrouvent souvent bloqué dans l'incompréhension, la pitié et la peur du malheur face à celui qui s'est perdu.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 2 juin 2018
Critique lue 126 fois
D'autres avis sur Oslo, 31 août
Oslo, 31 août n'est pas un moment de cinéma comme un autre. Tout d'abord, rien que son titre, son affiche (très belle affiche !), et sa bande-annonce suggèrent un film assez énigmatique. Qui sait...
Par
le 27 avr. 2012
114 j'aime
16
S’il fallait résumer Oslo, 31 aout, on pourrait le décrire comme un film qui ne cesse de finir. Dès sa première séquence, celle d’un lent suicide raté, c’est l’adieu au monde qui prévaut, tout comme...
le 24 sept. 2015
105 j'aime
4
Pour filmer vingt-quatre heures de l'existence de son héros qui a tout d'une non-vie, le norvégien Joachim Trier met à profit dans Oslo, 31 août son expérience d'ex-champion de skateboard puisqu'il y...
le 3 mars 2012
98 j'aime
11
Du même critique
Le cadre du protagoniste, adolescent encore plonger dans une enfance tellement horrible qu'elle paraît presque surréaliste, cet adolescent dont l'âme l'a quitté si tôt et dont la profonde dépression...
Par
le 20 août 2018
1 j'aime
Avertissement cette critique se base sur les émotions et non sur des processus faute de connaissances dans le domaine. Ce film m'a bouleversé. Je me suis totalement identifié au personnage, une...
Par
le 2 juin 2018
une expérience tripée qui plonge le spectateur dans les multiples bads du personnages. BO cool et dialogues croustillants, avec de bonnes punchlines, souvent absurdes.
Par
le 4 juin 2018
