Le cri du sorcier
Acteur passionnant dans ses choix, grand admirateur de John Cassavetes, franc-tireur et touche-à-tout du Septième Art Jean-François Stévenin accouche à la fin des années 70 d'un premier long métrage...
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le 28 avr. 2018
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Ce qui est terrible avec ce film c’est que toutes les personnes qui vous diront qu’il est hors-norme, virtuose, poétique et audacieux, auront raison. Stevenin est superbe, vivant profondément entre ciel et terre, tout comme les montagnes qu’il habite. Il y a juste un détail qui tue : c’est indigeste. Ce film n’est regardable que dans le cadre d’un cours sur le cinéma où on prendrait du plaisir à analyser les originalités du film pour questionner le cinéma. Mais aussi amoureuse de la montagne et de la poésie que je sois, je n’ai rien compris à ce film laborieux et inaccessible. Je repars décontenancée et les mains vides, avec juste une migraine à force d’avoir essayé d’entendre les dialogues dans le brouhaha du film.
Créée
le 15 avr. 2022
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