Se faire ghoster irl, ignorer par tout le groupe de pote qu'on s'est fait, trop bien.
Ouais c'est tout ce que je retiens.
Le quasi seul rôle féminin est encore traitée comme un personnage qui se débranche hors-champ, pendant que les garçons souffrent et s'inquiètent pour eux, entre eux.
Mention spéciale pour le pote qui reluque l'infirmière en plein service, un beau connard en pleine action.
Et ces éléments ne sont pas là pour dénoncer la misogynie et le sexisme d'une époque. Ils viennent juste saupoudrer le scénario.
Comme quoi on peut être le pp et être une merde.
Y'a ça dans le livre ?
Je mets 5 parce que la représentation est importante et bénéfique, le sujet principal est important. Mais sinon le traitement de la femme est affligeant. Encore une fois.