Avec son décor exotique, un Jean Gabin voleur mais héroïque, Julien Duvivier nous offre un bon film précurseur du film noir à la française. Le décor exotiques étant celui de l'Algérie.
Pas de méchants ici, les policiers recherchent celui qui porte le titre du film pépé le Moko. C'est lui le héros mais coupable à la fois car voleur de bijoux.
Le plus grand mérite de ce film vient de la mise en scène du réalisateur qui fait de la Casbah d'Alger un labyrinthe arabique, touché par un romantisme français... Bref : les décors sont magnifiques.
Interdit par Vichy, le film jouit désormais d'une aura qui le classe au rang des plus grands films français.