De belles intentions
Gérardmer, deuxième film en compétition visionné, toujours orange et bleu. A croire que dans la sélection pour la compition officiel, était nécessaire d'utiliser le sempiternel contraste de couleur...
le 25 janv. 2024
3 j'aime
Le film, malgré ses intentions louables, nous octroie, dans un premier temps, le minimum de compréhension, invitant le spectateur à naviguer avec parcimonie dans son récit. L'atmosphère, bien qu'omniprésente, semble étouffée par une brume narrative dense, laissant peu de place à la clarté mais créant une dissonance plaisante avec l'humour, parfois burlesque. Les dialogues, par moments, se révèlent être un défi à appréhender.
Créée
le 28 janv. 2024
Critique lue 37 fois
5 j'aime
D'autres avis sur Perpetrator
Gérardmer, deuxième film en compétition visionné, toujours orange et bleu. A croire que dans la sélection pour la compition officiel, était nécessaire d'utiliser le sempiternel contraste de couleur...
le 25 janv. 2024
3 j'aime
Gerardmer 2024, jour 3.Enfin une proposition un tant soit peu originale dans cette sélection en compétition. Alors attention, nous ne sommes pas en présence d'un chef-d'œuvre, ceci dit je suis sorti...
Par
le 27 janv. 2024
2 j'aime
Jonny, dix-sept ans est envoyée chez sa tante pour faire son entrée dans un nouveau lycée. Les disparitions des lycéennes s'enchaînent. En parallèle, Jonny est victime de quelques changements...
Par
le 16 août 2024
1 j'aime
Du même critique
Grumberg choisit la fable et Hazanavicius l'animation pour aborder la dés.humanisation, et ainsi transcender les limites de sa représentation. La simplicité apparente de la forme, qu’il s’agisse de...
Par
le 1 oct. 2024
13 j'aime
1
Megalopolis s’affirme en opéra visuel exubérant, une œuvre où la démesure et la mégalomanie règnent en maître. À travers ce film, Coppola libère un foisonnement baroque de kitsch romano-futuriste, où...
Par
le 13 nov. 2024
11 j'aime
Soumise à l’inexorable fuite du temps et aux regards masculins implacables, Elisabeth s’effondre sous le poids d’une beauté marchandisée. Dans The Substance, elle s’abandonne à un fluide malléable,...
Par
le 31 oct. 2024
11 j'aime