Cinémagique.
En regardant les dernières apparitions cinématographiques d'Alejandro Jodorowsky, il est facile de constater que la filmographie du joyeux luron prend une tournure centrée sur l'autobiographie. « La...
le 2 juin 2016
30 j'aime
3
Jodorowsky écrit en palimpseste ses années de jeune poète résistant par l'art contre un Chili en proie au nazisme et contre un père traditionaliste. Jamais oeuvre testamentaire n'aura été aussi bariolée et vivante !
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de 2016 et Mai 2016 / Cinéma
Créée
le 18 mai 2016
Critique lue 381 fois
4 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Poesía sin fin
En regardant les dernières apparitions cinématographiques d'Alejandro Jodorowsky, il est facile de constater que la filmographie du joyeux luron prend une tournure centrée sur l'autobiographie. « La...
le 2 juin 2016
30 j'aime
3
Otra vez, tras la lucha que rinde y la incertidumbre amarga del viajero que errante no sabe dónde dormirá mañana, en sus lares primitivos halla un breve descanso mi alma. Une fois encore, après la...
Par
le 12 oct. 2016
18 j'aime
6
C’est un jeune homme dans un joli costume blanc, et dans ses bras il tient un tout petit chien blanc, et il pendouille au bout d’une corde sous un réverbère dans la nuit de Santiago, Chili. Devant...
Par
le 6 oct. 2016
16 j'aime
Du même critique
Indispensable pour son sujet et ce qu'il témoigne des violences sexuelles faites aux mineurs. Mais, comme objet de cinéma, hormis les inventions exportées du théâtre, il n'invente rien. Et...
le 20 nov. 2018
8 j'aime
8
De la Nouvelle Vague d'où L.Garrel tire sa filiation, il n'en reste ici que peau de chagrin. Exit la légèreté, le dilettantisme, la gracilité de Truffaut ou Rohmer. Bonjour le sérieux de pape d'un...
le 7 janv. 2019
8 j'aime
La puissance de cet EP, derrière la modestie de son contenu, tient à la sagace composition de ses beats, entre rap, hip hop et dubstep franc, et à la plume aiguisée et percutante de son auteur,...
le 25 mai 2017
8 j'aime