Au bébut, le film "fonctionne". L'actrice incarne avec profondeur le rôle de precious, les situations sonnent juste, et cette vision de la face sombre de l'amérique fait toujours du bien.
Puis, les ficelles classique du mélo se mettent en place, les rebondissements, les faux espoirs, la "scénarisation" se sent de plus en plus.
Les situations s'enchaine de mal en pis, c'est la farandole du glauque.
Et, au bout d'une heure et demi, on se surprend à rire au prochain malheur, tellement c'est too much, tellement c'est "écrit".
Ce film est donc pour moi on regret, puisqu'il aurait clairement put être un bon film, mais il se noie dans ses excès.
Le mieux est l'ennemi du bien.