Les âmes vagues
Comme si à 45 ans et après plus de 30 longs-métrages il ressentait le besoin de faire le point entre son œuvre passée et celle à venir, Ozu fait soudain appel à son vieux compagnon le scénariste Kogo...
Par
le 6 avr. 2017
33 j'aime
3
Créée
le 5 mars 2014
Critique lue 1K fois
4 j'aime
D'autres avis sur Printemps tardif
Comme si à 45 ans et après plus de 30 longs-métrages il ressentait le besoin de faire le point entre son œuvre passée et celle à venir, Ozu fait soudain appel à son vieux compagnon le scénariste Kogo...
Par
le 6 avr. 2017
33 j'aime
3
On retrouve le Japon entre tradition et modernité et la dissolution de la cellule familiale, thème récurrent du réalisateur. Yasujirō Ozu reprend ses acteurs fétiches et la relation père-fille avec...
Par
le 12 nov. 2018
14 j'aime
2
Printemps tardif, c’est un régal pour l’œil comme sait si bien en offrir Ozu. Un écrin visuel pour raconter un drame qui n’a rien d’original dans l’œuvre du réalisateur : celui de Noriko, une jeune...
Par
le 12 janv. 2024
11 j'aime
3
Du même critique
(À partir du 4ème paragraphe, je révèle certains éléments importants de l'histoire. Même si je considère que l'essentiel de ce film ne se trouve pas dans la trame, qui est assez évidente, je préfère...
Par
le 5 mars 2014
4 j'aime
Ça faisait un moment que je voulais voir ce film, dont la thématique me touche directement vu la région où j'ai passé mon enfance. De plus, l'article qui était apparu à l'époque dans Positif n'avait...
Par
le 28 mai 2013
4 j'aime
Comme à son habitude, Fincher nous embarque dans son histoire et ses péripéties rondement menées, avec une grande qualité de mise en scène. Plus que ça, il compose peut-être son film le plus abouti...
Par
le 16 oct. 2014
1 j'aime
1